1. |
Tout Autour
03:45
|
|||
Tout autour de moi ce mur
Où glisse parfois ma voix
Et tout autour de toi si pure
Des gens des rues des voies
Tu es libre comme j’aimerais l’être
Aussi libre comme j’aimerais l’être
Sous le ciel aquarelle tu cours pieds nus
Devant la fenêtre tu te tiens nue
Les tableaux de Magritte entourent ta chambre
Je viens je m’y abrite sous ton corps qui se cambre
Tu es libre comme j’aimerais l’être
Aussi libre comme j’aimerais l’être
Je cherche des rimes pour te dire des mots
Des mots qui riment avec l’amour et l’eau
Oui je cherche des rimes pour te dire des mots
Des mots qui riment avec l’amour et l’eau
Tu es libre comme j’aimerais l’être
Aussi libre comme j’aimerais l’être
Tout autour de moi il y a ce mur
Et tout autour de toi tout est si pur
Tout autour de moi il y a ce mur
Et tout autour de toi tout est si pur
Tu es libre comme j’aimerais l’être
Aussi libre comme j’aimerais l’être
…
|
||||
2. |
Je Rêve Encore
03:49
|
|||
La rue est froide ce matin
Elle ne débouche nulle part
Mon coeur bat lentement
Et moi je m'en vais au hasard
La rue est froide ce matin
Elle ne débouche nulle part
La ville est pleine de gens bizarres
La ville est pleine de vrais connards
Je rêve encore tu sais
Je rêve encore tu sais
Je rêve encore tu sais
Que sont mes rêves devenus ?
Je rêve encore
Je rêve encore
O le sais-tu ?
La rue est froide ce matin
Elle ne débouche nulle part
Je me souviens d'un soir d'été
D'un soir d'été plein de regrets
La rue est froide ce matin
Elle ne débouche nulle part
Ma ligne de vie a plein de coeurs
Et le métro n'a plus d'odeur
Je rêve encore tu sais
Je rêve encore tu sais
Je rêve encore tu sais
Que sont mes rêves devenus ?
Je rêve encore
Je rêve encore
O le sais-tu ?
La rue est froide ce matin
Elle ne débouche nulle part
Le temps qui file me rend fébrile
Me rend fébrile et puis fragile
La rue est froide ce matin
Elle ne débouche nulle part
Mon coeur bat lentement
Et moi je m'en vais au hasard
Je rêve encore tu sais
Je rêve encore tu sais
Je rêve encore tu sais
Que sont mes rêves devenus ?
Je rêve encore
Je rêve encore
O le sais-tu ?...
|
||||
3. |
Ode à la Lune
03:11
|
|||
J’aime bien la peau
De ce ciel tendu
J’aime dans les mots
Tout ce qui est cru
Si la lune m’inspire
Je pourrai t’écrire
Si la lune m’étripe
Ce ne sera pas un bon trip
J’aime le terrain
De tes jeux ludiques
J’aime dans tes mains
Tous les sports physiques
Si la lune m’inspire
Je pourrai t’écrire
Si la lune m’étripe
Ce ne sera pas un bon trip
J’aime bien la vue
De ton arrière-train
J’aime dans les trains
Regarder la vue
Si la lune m’inspire
Je pourrai t’écrire
Si la lune m’étripe
Ce ne sera pas un bon trip
…
No good trip
Very bad trip !
|
||||
4. |
Le Creux de ton Cou
03:47
|
|||
Parfois certains jours dans le creux de ton cou
Tout un monde ahuri de villes et de bruits
Et des torrents de gens et des torrents de gens
Parfois certains jours dans le creux de ton cou
L’étendue magnifique d’un fleuve qui ruisselle
Et des torrents de grêles et des torrents de grêles
Et tout s’efface
On n’y peut rien
Que quelques traces que l’on retient
Que quelques traces entre les mains
Parfois certains jours dans le creux de ton cou
L’immensité entière d’un rire qu’on vénère
Et des torrents de vent et des torrents de vent
Parfois certains jours dans le creux de ton cou
La trace du combat des ombres et des lumières
Et des torrents de temps et des torrents de temps
Et tout s’efface
On n’y peut rien
Que quelques traces que l’on retient
Que quelques traces entre les mains
Parfois certains jours dans le creux de ton cou
La caresse rebelle d’une nuit éternelle
Et des torrents d’attente et des torrents d’attente
Parfois certains jours dans le creux de ton cou
Tout un monde ahuri de villes et de bruits
Et des torrents de gens et des torrents de gens
Et tout s’efface
On n’y peut rien
Que quelques traces que l’on retient
Que quelques traces entre les mains…
|
||||
5. |
On Trainait
02:46
|
|||
On trainait
On trainait tout le temps
Nos plaisirs
Nos tourments
On s’aimait
On s’aimait vraiment
Sans mentir
Tout le temps
Dans la rue
Où le monde est rude
On courrait
Sous le vent
Dans la nuit
Où les chats sont gris
On s’aimait
On s’aimait vraiment
On trainait
On trainait tout le temps
Nos plaisirs
Nos tourments
On s’aimait
On s’aimait vraiment
Sans mentir
Tout le temps
Alors dis bonjour à la dame mon amour
A la dame
O dis bonjour
A la dame
On trainait
On trainait tout le temps
Nos plaisirs
Nos tourments
On s’aimait
On s’aimait vraiment
Sans mentir
Tout le temps
|
||||
6. |
L'Absinthe
03:10
|
|||
J’aurais voulu boire l’absinthe
Avoir les pensées de Verlaine
Mourir sur une croix comme sainte
Jauger la sagesse à la haine
J’aurais voulu seul un cri simple
Défait d’aigus et de souffrances
Et qu’on fond de ma gueule simple
La vie se tire en révérence
La vie se tire en révérence
J’ai manuscrit tant de pudeurs
Comme le lierre autour des sèves
Serré de corde tout mon cœur
Pissant bavant jamais sans trêve
J’aurais voulu seul un cri simple
Défait d’aigus et de souffrances
Et qu’on fond de ma gueule simple
La vie se tire en révérence
La vie se tire en révérence
J’ai pour hommage omis des fleurs
A la cambrure d’un vieux bar
Bu dans le verre d’un buveur
Deux lunes rondes aux yeux hagards
J’aurais voulu seul un cri simple
Défait d’aigus et de souffrances
Et qu’on fond de ma gueule simple
La vie se tire en révérence
La vie se tire en révérence
Stop
|
||||
7. |
Le Bain
03:37
|
Frédéric Rose Paris, France
Textes et musiques : Frédéric Rose
Backing vocals : Céline Melloul
Frédéric Rose,
musicien, auteur et interprète parisien, joue avec les mots, créant un mix subtil entre pop ludique et aérienne, entre l’ombre et la lumière de deux voix qui se mêlent et fusionnent, entre mélodies acidulées et textes inspirés qui donnent des envies d’ailleurs.
"Noomiz"
... more
Streaming and Download help
If you like Frédéric Rose, you may also like:
Bandcamp Daily your guide to the world of Bandcamp